Deanna est passionnée par la prestation d’excellents services d’ergothérapie et dirige sa propre entreprise. Miskihnak Occupational Therapy fournit des services d’ergothérapie pédiatrique à North Battleford et au nord de la Saskatchewan. Deanna est également l’actuelle présidente de la Saskatchewan Society of Occupational Therapists.

Elle est étudiante en deuxième année de doctorat au département de la santé, du vieillissement & de la société de l’Université McMaster. S’appuyant sur l’expérience vécue d’Alexandra en tant que soignante, sa recherche doctorale vise à comprendre l’impact de la colonisation sur la santé des Métis de la rivière Rouge en explorant le lien entre l’identité et les maladies inflammatoires de l’intestin.  Alexandra s’inspire de la cartographie corporelle, une approche artistique qui permet aux participants de créer des cartes corporelles pour les aider à raconter leur histoire, en mettant l’accent sur une compréhension relationnelle de la santé.

Ayant travaillé dans les secteurs gouvernementaux et non gouvernementaux, Alexandra se consacre à l’utilisation de méthodes participatives basées sur la force, les droits et l’engagement communautaire pour améliorer la santé indigène en s’attaquant au racisme anti-indigène dans les soins de santé, en réformant l’éducation médicale et en concevant une politique de santé indigène.

Michelle est arrivée à la fonction publique dans le cadre du Programme avancé pour les analystes de politiques, un programme de perfectionnement par rotation permettant de faire des stages dans trois organismes centraux. Au fil de sa carrière, Michelle a eu la chance de travailler sur un vaste éventail de dossiers, dont la santé mentale, l’emploi des jeunes, le régime d’assurance-médicaments et la coordination du budget fédéral. En 2017, elle a été choisie pour prendre part à Canada au-delà de 150, un programme fédéral de perfectionnement du leadership et de développement des compétences qui lui a permis d’explorer des outils stratégiques novateurs dans le cadre d’un projet portant sur la réconciliation.

Michelle est par ailleurs directrice du conseil d’administration de l’Education Foundation of Ottawa, dont la mission est d’éliminer les obstacles économiques qui se posent à la participation et à la réussite de tous à l’école.

Michelle est titulaire d’un baccalauréat en affaires publiques et en gestion de politiques de l’Université de Carleton et d’une maîtrise en politiques publiques de l’Université Simon Fraser.

Elle a co-fondé CityHive, un organisme sans but lucratif dont la mission est de transformer la façon dont les jeunes façonnent leur ville et les processus civiques qui les mobilisent. Elle a aussi co-créé le premier congrès sur la durabilité de la commission scolaire de Vancouver (Vancouver School Board Sustainability Conference), qui en est actuellement à sa onzième année, et lancé la Vancouver Youth4Tap Coalition, une campagne à l’échelle de la ville qui a donné lieu à l’installation de nouvelles fontaines d’eau dans toutes les écoles secondaires publiques de Vancouver. Elle s’est présenté aux élections provinciales et municipales et a conseillé des ministres fédéraux et provinciaux. Elle remplit actuellement les fonctions de gestionnaire de programmes auprès de Financeurs en Environnement au Canada.

Tesicca a siégé au sein du groupe de travail du maire (Mayor’s Engaged City Task Force), du conseil consultatif sur la croissance propre et les solutions climatiques de la C.-B. (BC’s Climate Solutions and Clean Growth Advisory Council) et du sénat de l’Université Simon Fraser (SFU). En raison de l’excellence de son travail, elle s’est vu décerner le prix du leadership en durabilité du président de la SFU (SFU President’s Leadership in Sustainability Award) et le prix du leadership de la ville la plus verte de Vancouver (Vancouver’s Greenest City Leadership Award). Tesicca fait aussi partie des listes des 30 premières personnes de moins de 30 ans et des 25 premières personnes de moins 25 ans des Corporate Knights, de la North American Association for Environmental Education et de Starfish Canada. En ville, elle aime faire de la planche à parc et du vélo; dans l’océan, de la nage et du kayak; en montagne, de l’escalade, et, dans les bois, de l’exploration.

Dr. Prete a obtenu une licence d’enseignement élémentaire avec spécialisation en mathématiques et en sciences, ainsi qu’une maîtrise et un doctorat en éducation à l’Université de l’Alberta. Elle a obtenu une bourse postdoctorale du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et a été la première récipiendaire de la bourse postdoctorale du Provost de l’Université de Calgary pour les chercheurs autochtones et noirs de l’Université de Calgary.

L’Université de l’Alberta a récemment décerné à Dr. Prete le prix Alumni Horizon (2022), qui reconnaît ses initiatives de recherche découlant de ses travaux sur la vérité et la réconciliation, ainsi que leurs répercussions sur la communauté, comme une réalisation professionnelle exceptionnelle. Dr. Prete a étudié les politiques éducatives et s’est spécialisée dans l’éducation des peuples autochtones. Son domaine d’expertise comprend Les taux de rétention des autochtones dans le système scolaire public, la recherche historique sur les Pieds-Noirs, l’impact de la colonisation, les traumatismes intergénérationnels et les méthodologies de recherche autochtones.

Ayant grandi à Montréal, Sophie a complété un baccalauréat en microbiologie/immunologie et une maîtrise en médecine expérimentale à l’Université McGill. Elle est titulaire d’un doctorat en médecine cellulaire et moléculaire de l’Université d’Ottawa et a participé à un externat en pharmacovigilance à l’Université Harvard.

Globe-trotteuse passionnée par l’engagement communautaire, Sophie a été la représentante canadienne pour le secteur des sciences de la santé lors d’un programme d’échange Rotary. Elle a visité de nombreux hôpitaux et centres de recherche au Rwanda et au Gabon pour discuter des meilleures pratiques en matière de politiques publiques avec les hauts dirigeants de ces deux pays. Sophie a siégé au conseil d’administration de divers organismes à but non lucratif dans les secteurs de l’éducation et de l’action communautaire et s’est impliquée dans de nombreuses initiatives pour la promotion des femmes en STIM. En tant que ceinture noire deuxième dan et instructrice d’arts martiaux, elle a fondé un cours d’autodéfense pour les femmes en situation de vulnérabilité. Mais avant tout, elle est la mère dévouée de deux enfants qui espère avoir un legs positif sur la prochaine génération.

Il a passé la dernière décennie à concevoir des interventions visant à améliorer les résultats pour les enfants, les jeunes et les familles noirs en ce qui concerne la santé et le bien-être, la violence communautaire, la santé mentale et les dépendances, ainsi que le secteur des services sociaux. Son travail se concentre actuellement sur la planification sociale, l’équité en matière de santé et la lutte contre les causes de la détresse et de l’inégalité dans les quartiers.

Avant de rejoindre l’Institut McKenna, Melissa a supervisé un portefeuille de projets nationaux d’impact sur les océans avec la Supergrappe océanique du Canada et a soutenu la croissance de plus de 40 nouvelles entreprises à travers la gestion d’un programme d’accélérateur d’entreprises. En 2017, elle a été directrice générale en résidence du Global Accelerator Network et a passé trois mois à travailler avec ABC Accelerator à Ljubljana, en Slovénie.

Melissa est titulaire d’une Maîtrise en Administration Publique de l’Université Dalhousie et d’une Licence en Relations Internationales de l’Université Mount Allison. Pendant ses études de premier cycle, Melissa a été présidente de l’Union des étudiants de Mount Allison et a exercé des pressions à tous les niveaux du gouvernement sur les questions auxquelles sont confrontés les étudiants canadiens de l’enseignement postsecondaire.

Melissa vit dans sa ville natale de Saint John, au Nouveau-Brunswick, avec son partenaire et leur chat. Pendant son temps libre, Melissa aime se rapprocher de la nature en jardinant, en faisant du camping et en se rendant sur les belles plages du Canada Atlantique.

Megan est titulaire d’un doctorat en études théâtrales et performances de l’université de York. Elle est actuellement associée de recherche à Re•Vision : The Centre for Art and Social Justice à l’Université de Guelph, un centre de recherche qui utilise des méthodologies basées sur les arts pour étudier les façons dont les arts peuvent faire avancer les conversations sur les injustices systémiques dans tous les secteurs (y compris les soins de santé, l’éducation et les arts). À Re•Vision, Megan dirige des projets axés sur l’art et la performance des personnes handicapées, les études critiques sur l’accès, la pédagogie numérique et les politiques d’infrastructure. Elle est également rédactrice en chef de Performing Ethos : International Journal of Ethics in Theatre & Performance.

Outre son travail universitaire, Megan est une mezzo-soprano de formation classique. Elle chante dans un large éventail de genres, avec une expertise particulière dans la musique nouvelle et les techniques vocales élargies. Megan est une bénévole active au sein de la communauté et siège au conseil d’administration de divers organismes communautaires, dont Choirs for Change Association (depuis 2021) et Independent Living Nova Scotia (à partir de 2023).

Madison est titulaire d’un double baccalauréat en mathématiques et physique (Université McGill, 2014), d’une maîtrise en physique médicale (ULaval, 2016) et d’un doctorat en physique (ULaval, 2020), après quoi elle a travaillé comme physicienne médicale clinique en radio-oncologie. Elle a été conseillère étudiante du Scientifique en chef du Québec (2016-2019) et membre du premier conseil-jeunesse de la conseillère scientifique en chef du Canada (2020-2023), agissant comme porte-voix de la relève scientifique à l’interface science et politique.

En tant que Pivoting Fellow d’Optica, Madison poursuit son engagement à bâtir des ponts entre la science et la société. Elle contribue son expertise en tant que membre de conseil d’administration, mentore et bénévole dévouée au sein d’organisations locales et internationales. Au fil des ans, Madison a codirigé plusieurs initiatives pour les filles et les femmes en STIM, ainsi que des projets créatifs de vulgarisation scientifique comme La Terrasse Optique. Originaire de Québec, Madison adore le plein air, particulièrement la course (ultra)trail, le volleyball de plage et le vélo.

Justine est récipiendaire d’une bourse de recherche doctorale des Fonds de recherche du Québec, société et culture (FRQSC). Elle détient par ailleurs une maitrise en sciences de l’administration (MSc), un DESS en gestion du développement international et de l’action humanitaire et un baccalauréat en science politique de l’Université Laval.

Avant de se lancer dans l’aventure doctorale, Justine a obtenu une bourse de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant en 2017-2018, lui permettant d’effectuer un stage parlementaire à l’Assemblée nationale du Québec. Elle a ensuite travaillé, jusqu’en 2022, à titre de conseillère principale dans une agence de relations publiques et relations gouvernementales, auprès de clients dans des secteurs variés.

Outre son travail, Justine s’implique dans sa communauté, membre de différents conseils d’administration dans le passé, elle est aujourd’hui secrétaire générale de l’Académie des controverses et de la communication sensible. Elle fait également partie de la première cohorte du Conseil jeunesse de Ressources naturelles Canada.

Japman est passionné par l’apprentissage et l’application de nouvelles compétences, technologies et cadres pour créer des produits, des organisations et des systèmes plus résilients, innovants et précieux. Il a été membre du conseil d’administration du sentier transcanadien et fait partie de plusieurs comités mondiaux liés à l’éducation et au développement des compétences.

Soucieux d’une éducation plus équitable, plus accessible et de meilleure qualité, M. Japman se concentre sur l’habilitation et l’autonomisation des individus par la validation des compétences. Actuellement, M. Japman est vice-président exécutif de Vametric Corporation, où il est responsable de la croissance globale et de l’opérationnalisation de l’entreprise.

Né et élevé à Ottawa, M. Japman a vécu sept ans en Alberta et habite maintenant à Toronto. En dehors de son travail avec Vametric, il facilite le financement immobilier pour les grands projets commerciaux, en se concentrant sur les logements multirésidentiels dans le contexte de la crise actuelle du logement au Canada. En dehors du travail, on le trouve le plus souvent sur son vélo, dans un café, à un spectacle de comédie ou avec sa famille et ses amis.

Ancien pupille de la Couronne, le parcours de vie de Joey a éclairé son journalisme et son engagement communautaire. Il prévoit d’utiliser les compétences qu’il obtient pendant la bourse d’Action Canada pour améliorer sa compréhension des processus d’élaboration des politiques et des solutions mises en œuvre à travers le Canada pour les défis qu’il couvre en tant que journaliste local.

À une époque, Joey était membre d’une ligue compétitive de flipper, se classant une fois parmi les 1000 meilleurs joueurs au Canada. Il est actuellement classé 43720e au monde par l’International Flipper Pinball Association.

Joey vit dans le centre-ville de Hamilton, en Ontario, où les gens plaisantent en disant que son siège attitré au marché des producteurs est son véritable « bureau ».

James travaille avec des entreprises, des gouvernements et des partenaires communautaires pour comprendre les causes profondes de nos défis complexes et pour modifier nos comportements, nos cultures et nos politiques afin de créer un changement à long terme. Ses activités professionnelles et bénévoles actuelles visent à modifier la façon dont les investissements et le capital philanthropique peuvent être orientés vers la recherche de l’équité et de la justice sociales.

En dehors du travail, et dans des proportions à peu près égales, James est un passionné de plein air, un athlète de ligue récréative et une patate de canapé.

Dans son rôle, il agit en tant que ressource politique afin d’aider et de conseiller le gouvernement du Nunavut relativement à diverses questions et enjeux liés à la région circumpolaire.

André a obtenu un B.C.L et un LL.B. de la Faculté de droit de l’Université McGill, où il a été choisi comme valedictorian/major de promotion de sa classe. De plus, il possède un diplôme spécialisé en communication et en affaires de l’Université de Waterloo.

Le travail qu’a effectué André tout au long de sa carrière reflète largement son engagement envers la participation communautaire et l’équité. Par exemple, en tant que premier agent de liaison autochtone à l’Université de Waterloo il a été à l’avant-garde de changements importants dans les politiques de recrutement et d’admission, permettant de mieux servir les étudiants et les communautés autochtones.

Actuellement, André contribue toujours aussi activement à la communauté. Il est bénévole à l’Association civile de recherche et de sauvetage aériens (ACRSA), où il participe aux opérations de recherche et de sauvetage au Nunavut. De plus, il consacre également ses efforts à lutter contre l’insécurité alimentaire à Iqaluit en étant membre du conseil d’administration de la Banque alimentaire Niqinik Nuatsivik Nunavut.

Ancienne chef de cabinet d’un ministre du gouvernement du Québec, Daria possède une connaissance intime des rouages des plus hauts niveaux de la politique et de la prise de décision, ainsi que des processus législatifs et réglementaires. Elle a dirigé des travaux sur un portefeuille interministériel de questions pancanadiennes et a joué un rôle déterminant dans l’élaboration et la mise en œuvre d’une nouvelle vision pour ce portefeuille. Elle a également été directrice du contenu d’un premier ministre sortant lors d’une campagne électorale provinciale.

Aujourd’hui, Daria aide les entreprises, les investisseurs et les organismes publics à comprendre et à gérer leurs risques climatiques, notamment en définissant une ambition climatique, une structure de gouvernance et une stratégie de divulgation. Avant de fonder Clearsum, Daria a obtenu un Executive MBA (HEC Montréal – McGill). Elle est titulaire d’un baccalauréat en droit civil et en common law (McGill) et est membre du Barreau du Québec (2006).

Dans ses temps libres, elle apprend par la lecture, le bénévolat et les voyages.

Elle aime aussi danser.

Elle aspire à la création d’une organisation en Alberta qui défendra et renforcera les enfants, les familles et les communautés iyiniw. Dale travaille actuellement pour l’Indigenous Knowledge and Wisdom Centre, qui fournit des services de soutien de deuxièmes et troisièmes niveaux aux écoles gérées par les bandes dans toute l’Alberta, en veillant à ce que les enfants iyiniw apprennent leurs savoir-faire, leur histoire, leurs coutumes et leurs traditions.

En dehors de l’école et du travail, Dale est un nouveau membre du conseil d’administration kanawemawasîwapîwin de la société maskêkosak newowacistwan nâtamâkêwin, qui supervise les services de soutien aux enfants, aux jeunes et aux familles de maskêkosak (Nation crie d’Enoch, Alberta). Elle est également bénévole pour Weaving Threads : Un programme d’engagement indigène en partenariat avec « Jeunesse, J’écoute » qui vise à sensibiliser les enfants et les jeunes iyiniw aux services proposés de Jeunesse, J’écoute.

Dale estime que son rôle le plus important est celui d’épouse, de mère et de grand-mère. Pendant son temps libre, on peut la trouver dans les gradins d’une patinoire de hockey ou d’un terrain de baseball en train d’encourager ses enfants.

Avant ses études doctorales, il a été diplomate pour le gouvernement canadien, enchaînant des affectations en tant qu’agent de migration à Londres (Angleterre), à Beyrouth (Liban) et à Pretoria (Afrique du Sud).

Van Haren a grandi dans une collectivité agricole du centre de l’Alberta : pendant les dix premières années de sa vie, ses parents étaient propriétaires d’une ferme laitière et depuis lors, ils élèvent des bisons. Ses grands-parents ont immigré des Pays-Bas pour s’installer en Alberta. Van Haren vit maintenant à Montréal.

En plus de son expérience outre-mer, il a également vécu, travaillé et étudié à Moncton, au Nouveau-Brunswick, à Gatineau, au Québec, ainsi qu’à Ottawa et Toronto. Il est membre du conseil d’administration de Citizens for Public Justice, un organisme confessionnel de politique publique et de défense des droits, et a également participé à des initiatives de parrainage de réfugié.e.s en Ontario et au Québec.

En plus de son travail pour la Saskatchewan Health Authority, il est propriétaire d’Allied Exams Corporation et d’une entreprise de location à loyer modéré. Il a également été médecin militaire de réserve et redonne maintenant en soutenant les Cadets royaux de l’Armée canadienne locaux en tant que leader.

Son travail trouve ses racines là où il a grandi, en soutenant les collectivités rurales et éloignées mal desservies, en formant des équipes et en connectant des groupes pour qu’ils se focalisent sur un objectif commun en croisant les partenariats communautaires, la santé de la population et les gains d’efficacité.

Tessier est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires et d’un diplôme en thérapie respiratoire de l’Université Thompson-Rivers et d’un baccalauréat ès sciences en chimie avec mineure en kinésiologie de l’Université de Regina. De plus, il est cadre de santé certifié par le Collège canadien des leaders en santé et a récemment obtenu son certificat en gestion de la santé de la population à l’Université Johns Hopkins.

En tant que vice-président du Collège Southeast, coprésident du comité des politiques et règlements, ancien président du comité de déontologie du Saskatchewan College of Respiratory Therapy et cofondateur de la Fondation Dr. Mulder Health, il s’efforce de rassembler les équipes dans le domaine de la santé et de l’éducation. Né en Saskatchewan, il est fier de partager continuellement ses connaissances lors de présentations et de soutenir la collectivité qu’il sert par l’intermédiaire de partenariats ciblés.

En 2021, VFC avait un budget d’exploitation annuel de plus de 14 millions de dollars, 35 employé.e.s à temps plein et 2 600 étudiant.e.s et jeunes diplômé.e.s participaient à ses programmes. Les donateurs.rices de VFC incluent Emploi et Développement social Canada, la Fondation RBC, la Banque TD, la Hunter Family Foundation, le Centre des Compétences futures, Fasken et la Fondation Donald R. Sobey.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, M. Stirrett est diplômé de la School of Foreign Service de l’Université Georgetown. Immédiatement après avoir obtenu son diplôme de Georgetown, il a travaillé à Goldman Sachs Inc., à New York.

Il a reçu le titre de Telus LGBTQ Innovator de l’année 2018 décerné par The Inspire Awards, celui de Young Impact Leader 2019 attribué par Future of Good, et celui de Changemaker 2022 décerné par The Globe and Mail.

Stirrett a contribué ou a fait l’objet d’articles dans The Washington Post, The Globe and Mail, The National Post, Forbes, Future of Good, The Chronicle Herald et The Georgia Straight. Il a également été commentateur au CBC News Network et à BNN Bloomberg.